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Co-thérapeutes sans blague !?

« On leur demande d’être présents de relayer finalement c’est des co-thérapeutes. On n’ignore leur souffrance, les effets dans leurs fonctions de proches ». Propos du Pr Benyamina (à écouter sur France Inter)

J’avoue avoir un peu de mal, en l’état des parcours, à m’entendre qualifié de co-thérapeute.

J’ai en effet entendu et lu des mots en co, mais ce n’était pas celui-là.

Co-dépendant, co-alcooliques, incapable de changement cela oui on nous le fait comprendre.

Ce « vous n’y pouvez rien » qui nous laisse en marge du parcours de soins.

Pour ce qui est d’être ignoré, oui j‘ai été ignoré.

Par contre je suis intimement persuadé que les soignants n’ignoraient rien de ma souffrance et de celle de ma famille.

Je n’ai pas entendu dans les moyens à mettre en œuvre un appel pour faire une réalité de ce slogan :

« L’entourage partenaire essentiel du parcours de soins ».

Pour faire de nous à l’avenir des co-thérapeutes il faudrait peut-être commencer par nous reconnaitre dans notre légitimité d’aidants naturels, nous considérer comme des interlocuteurs incontournables et évidemment systématiquement nous co-soignés .

Qu’en pensez-vous ?

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