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AU SU ET AU VU

Revenu à plus de lucidité depuis son décès je cherche et je trouve tout ceci :


L’entourage du malade est un interlocuteur essentiel. Il est nécessaire de considérer l’environnement pour améliorer le suivi de la personne.


« On oublie que c’est très souvent l’entourage qui a introduit le malade alcoolique dans les circuits de guérison en prenant contact le premier avec le corps médical ou avec les associations d’anciens buveurs et que, si on voulait bien l’informer et l’aider lui-même, il deviendrait en mesure de les seconder, à leur demande éventuelle, pour le plus grand bien du malade, au moins tant qu’il ne peut se prendre en charge lui-même ».


La nécessité d'un travail préliminaire d'accueil et d'accompagnement de l'entourage quand il apporte sa plainte et sa demande à propos de l'autre et pour l'autre.


Constats pertinents d’une nécessité avérée.


Ne faut-il pas les confronter à la réalité de l’offre de soins et au comportement de nombreuses responsabilités médicales.

Combien de fois j’ai alimenté son mal être, sa souffrance et sa mésestime d’elle-même par manque de savoir.

Sans parler de l’insécurité.

Ai-je seulement su aider et protéger nos enfants.

Les interfaces entre l’entourage et les soignants, entre le parcours de vie et le parcours de soins, elles étaient réduites dans mon cas au strict minimum.

Suis-je le seul, je ne crois pas comme moi parcourez les forums.

Dans la caisse de résonance de cette solitude une question me revient sans cesse :


Combien de pertes de chances.

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